Forum des religions
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Rechercher
 
 

Résultats par :
 


Rechercher Recherche avancée

Derniers sujets
» Pourquoi l'avortement?
Le pape François ajoute la traîtrise à l’apostasie EmptyLun 4 Déc - 3:14 par Marmhonie

» La Bonne nouvelle
Le pape François ajoute la traîtrise à l’apostasie EmptyJeu 10 Aoû - 21:33 par Céline8

» Présentation.
Le pape François ajoute la traîtrise à l’apostasie EmptyJeu 10 Aoû - 21:16 par Céline8

» La Chine, l'usine du monde entier
Le pape François ajoute la traîtrise à l’apostasie EmptyMar 8 Aoû - 16:56 par Marmhonie

» Jésus est-il Dieu?
Le pape François ajoute la traîtrise à l’apostasie EmptyMar 8 Aoû - 16:52 par Marmhonie

» Contre l'euthanasie, aidons Vincent Lambert
Le pape François ajoute la traîtrise à l’apostasie EmptyMar 8 Aoû - 16:48 par Marmhonie

» La Bonne nouvelle
Le pape François ajoute la traîtrise à l’apostasie EmptyMar 25 Juil - 15:40 par Céline8

» La Bonne nouvelle
Le pape François ajoute la traîtrise à l’apostasie EmptyMar 25 Juil - 15:39 par Céline8

» Les prophéties du Tanakh (Bible) sur le Messie.
Le pape François ajoute la traîtrise à l’apostasie EmptyMar 25 Juil - 15:38 par Céline8

Mai 2024
LunMarMerJeuVenSamDim
  12345
6789101112
13141516171819
20212223242526
2728293031  

Calendrier Calendrier

Les posteurs les plus actifs de la semaine
Aucun utilisateur

Connexion

Récupérer mon mot de passe

Le Deal du moment : -45%
WHIRLPOOL OWFC3C26X – Lave-vaisselle pose libre ...
Voir le deal
339 €

Le pape François ajoute la traîtrise à l’apostasie

2 participants

Aller en bas

Le pape François ajoute la traîtrise à l’apostasie Empty Le pape François ajoute la traîtrise à l’apostasie

Message par Invité Jeu 21 Mar - 16:48

Le pape François ajoute la traîtrise à l’apostasie
Le pape François ajoute la traîtrise à l’apostasie Pape-franc3a7ois-abu-dhabi
Le récent voyage du pape François à Abu Dhabi des 4 et 5 février fit l’effet d’une bombe atomique tellement ce dernier agit comme un révélateur de la véritable nature de l’Eglise issue du concile, qui désormais ne se cache plus.
Nous le savions depuis longtemps, cette Eglise donnait des signes incontestables d’apostasie et d’hérésie. L’apostasie, c’est à dire le reniement de la doctrine fondamentale et immuable de l’Eglise catholique, est visible et palpable depuis le concile. Mais le 4 février 2019, nous avons pu prendre conscience comment cette dernière, une fois pleinement assumée et acquise, pouvait mener celui qui est présenté comme le chef suprême de l’Eglise à y ajouter la plus ignoble des traîtrises : celle de renier officiellement la divinité du Christ, c’est à dire de supprimer la pierre angulaire sur laquelle l’Eglise est construite.
Autrement dit, ils sont tellement avancés dans leur nouvelle église qu’ils ne se rendent même pas compte que ce qu’ils écrivent et disent est en contradiction formelle avec leur propre doctrine, leur propre catéchisme, leurs propres fondamentaux.
Démonstration.
Rappelons au préalable que le pape François s’est déplacé à Abu Dhabi pour participer le 4 février à une rencontre interreligieuse sur le thème de la fraternité humaine, organisée par le Conseil des sages musulmans. A cette occasion, il a prononcé un discours devant cette assemblée et publié une déclaration signée conjointement avec le Grand Imam d’Al-Azhar, Ahmad Al-Tayyib, appelée « Document sur la Fraternité humaine pour la paix mondiale et la coexistence commune« .
Tout ceci est loin d’être anodin et doit être pris avec le plus grand sérieux car :
– Un document signé, comme chacun sait, engage ses signataires ; il a valeur de « contrat » et sert de référence pour le futur. On peut donc exclure, à ce niveau, toute improvisation mais au contraire, la volonté d’y affirmer des idées fortes.
– Le pape ne s’en est d’ailleurs pas caché puisque le 31 janvier précédent, il publiait une vidéo officielle dans laquelle il s’est dit heureux « d’écrire une nouvelle page dans l’histoire des relations entre les religions » : une nouvelle page n’est pas une expression anodine non plus.
– Le Vatican a lui-même surenchéri puisque le même jour, son communiqué officiel avait pour titre qu’une « déclaration historique » avait été signée à Abu Dhabi.
– Enfin au lendemain de ce voyage, Mgr Ayuso, secrétaire du Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux, a indiqué que ce document sur la fraternité humaine était une « feuille de route« .
Il ne s’agit donc pas de superlatifs marketing d’une marque de lessive en mal de publicité, mais bien de propos délibérés, réfléchis et soigneusement choisis par les acteurs eux-mêmes.
Nous n’allons pas ici décortiquer l’ensemble des propos litigieux issus de cette journée du 4 février -ce serait trop long-, mais seulement nous attacher à quelques déclarations fortes afin d’en montrer les conséquences doctrinaires phénoménales qu’elles entraînent. Lesquelles sont représentatives de l’atmosphère du voyage et du sens des discours. Je précise que j’ai puisé à la source même, à savoir la traduction officielle en français de ces documents publiés par la salle de presse du Vatican.
 

1. Le pape François renie délibérément la Sainte Trinité

Le document sur la Fraternité humaine est signé conjointement par le « Saint-Père » et un haut dignitaire musulman ; par conséquent, quand ce document emploie le « nous », il désigne au minimum les catholiques et les musulmans. Or il y est affirmé que les catholiques et les musulmans croient dans le même Dieu puisqu’il y est écrit :
« Nous, croyants en Dieu »…
Et plus loin : « Nous le demandons par notre foi commune en Dieu« .
Ceci pose un problème grave, parce que « Dieu » n’est pas une entité abstraite à laquelle on donne la définition que l’on veut, surtout quand on est un chef religieux qui, justement, est habilité plus qu’un autre à pouvoir définir concrètement ce qu’est « Dieu ».
Il se trouve que les catholiques affirment, et là-dessus repose la pierre angulaire de leur doctrine, que Jésus-Christ est Dieu fait homme. Ils affirment que Dieu est unique et que son mystère s’explique dans celui de la Sainte Trinité, à savoir « un seul Dieu en trois personnes » (le Père, le Fils et le Saint-Esprit), ces trois personnes étant distinctes et en même temps indivisibles, puisqu’il s’agit d’un seul Dieu.
Enfin, ils affirment encore que leur religion est une religion révélée, c’est à dire non pas inventée par les hommes mais fondée sur la Parole de Dieu, qu’il a Lui-même révélée aux hommes par Jésus-Christ dans les évangiles. Si elle est révélée, elle ne peut évidemment pas être modifiée, elle est éternelle par définition, le divin n’étant pas une girouette changeant d’avis tous les millénaires.
Voilà ce qu’affirme chaque dimanche le même pape François en récitant le Credo.
Il se trouve que de leur côté, les musulmans ne reconnaissent pas la divinité de Jésus-Christ, et encore moins le dogme de la Sainte Trinité.
Comment donc un pape et un musulman peuvent-ils écrire -et signer- qu’ils ont une foi commune en Dieu ? Elle ne peut être commune puisque pour l’un Jésus-Christ est Dieu et pas pour l’autre !
Les musulmans auraient-ils modifié leur définition de Dieu ? Pas à notre connaissance.
Donc le changement est à chercher du côté de Rome et là, effectivement, depuis Nostra Aetate, s’est opéré un changement de discours revenant à admettre, ou à affecter de croire, que les chrétiens, les musulmans et les juifs partagent la même foi en Dieu le Père, qui serait aussi le Yahvé des juifs et le Allah des musulmans.
Mais ceci pose en soi un double problème :
– Il s’agit d’une redéfinition du dogme de la Sainte Trinité, c’est à dire que cette doctrine ne serait valable que si l’on scinde les trois Personnes de la Trinité. Mais alors, de monothéistes nous devenons polythéistes, faisant cohabiter trois Dieux que nous partageons à la carte avec les autres selon les convictions de chacun. Cela revient à dire qu’avec les musulmans et les juifs nous adorons ensemble le Père, mais que la foi dans le Fils nous est propre, c’est notre « Dieu » à nous, exclusif aux chrétiens.
– Oui mais dans ce cas-là, qu’en est-il de la religion révélée ? Dieu serait-il un rigolo, laissant l’Eglise se tromper durant 19 siècles, surtout quand on connaît les fondements du dogme basé sur la Parole de Dieu elle-même, les admirables méditations théologiques autour de ce mystère, et les innombrables saints et martyrs morts pour la Sainte Trinité ?
Et puis, qu’en est-il alors des instructions de Jésus-Christ, envoyant ses apôtres en mission à travers le monde, les enjoignant de « baptiser au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit » (Matthieu 28:19) ?
Par conséquent, affirmer dans un document écrit et signé que nous avons une foi commune en Dieu revient, pour les catholiques, à redéfinir le dogme de la Sainte Trinité et à s’opposer aux instructions mêmes de celui sur lequel repose notre foi : car chrétien vient de Christ.
 

2. Le pape François renie ouvertement la divinité de Jésus-Christ

On l’a compris dès le début : redéfinir le dogme de la Sainte Trinité revient à rejeter puis nier ce qui fait la base fondamentale de notre foi : la divinité de Jésus-Christ et l’exclusivité du salut éternel par son intermédiaire. Et c’est bien là où ils en sont arrivés.
Une des phrases-clés de cette déclaration est celle-ci :
« Le pluralisme et les diversités de religion, de couleur, de sexe, de race et de langue sont une sage volonté divine, par laquelle Dieu a créé les êtres humains. Cette sagesse divine est l’origine dont découle le droit à la liberté de croyance et à la liberté d’être différents ».
Ils ont osé l’écrire ; un homme qui se prétend pape ose écrire que la diversité des religions est un choix divin. Or l’Eglise de ce même pape enseigne et affirme, sans ambiguïté aucune, que seule la foi en Jésus-Christ sauve, en s’appuyant sur les affirmations de ce même Jésus-Christ.
De deux choses l’une : soit le pape François aurait reçu de nouvelles révélations divines et alors il faudrait qu’il en prouve la véracité, soit il ne donne pas la même définition au mot « Dieu » que sa propre religion.
Pour les catholiques, Dieu a un nom : Jésus-Christ ; ce même Dieu ne peut pas enseigner une chose et son contraire ; il ne peut pas dire d’un côté « Je suis le chemin la vérité et la vie, nul ne va au Père que par moi » (Jean 14:6), ou « Celui qui croira et sera baptisé sera sauvé, celui qui refusera de croire sera condamné » (Marc 16:16), et dire d’un autre côté qu’on peut se sauver en dehors de Lui.
Parce que dire que le pluralisme des religions est une volonté divine revient à dire que même les religions qui nient la divinité du Christ peuvent conduire au salut, qu’elles sont toutes « bénies de Dieu ». Mais alors, de quel Dieu s’agit-il puisqu’à l’évidence, il ne s’agit pas de Jésus-Christ ?
Donc le pape François, en écrivant et signant ceci, nie délibérément et visiblement la divinité de Jésus-Christ ; il renie sa propre doctrine. On dépasse l’apostasie et l’hérésie pour aller vers la traîtrise suprême.
Parce qu’au fond, enseigner une telle doctrine va beaucoup plus loin que ne l’imaginent les catholiques lambda, et s’ils réfléchissaient un peu plus aux conséquences de telles idées, ils seraient effarés. En effet, si on pousse le raisonnement jusqu’au bout, nier la divinité de Jésus-Christ revient aussi à remettre en cause son enseignement. On ne peut plus désormais présenter les évangiles comme la Parole de Dieu, puisque ce dernier n’est pas -ou plutôt n’est plus- Dieu. Encore un autre élément fondamental qui saute. Avec une telle façon de penser, les évangiles deviennent des textes inspirés, certes très beaux, mais que l’on peut réinterpréter à loisir puisqu’ils ne sont plus gravés dans le marbre de façon immuable et éternelle comme le serait la véritable Parole de Dieu.
C’est bien ainsi que la pastorale et la nouvelle théologie issues du concile procèdent : sans dire que ce n’est plus la parole de Dieu, ils en modifient l’interprétation et souvent le sens, quand ils ne la réécrivent pas.
Un des rares prélats à avoir réagi à ces propos outrageux est le cardinal Muller, dans un manifeste publié le 9 février, où il rappelle la doctrine de l’Eglise, à partir des articles du catéchisme de l’Eglise catholique conciliaire en vigueur (qu’aurait dû relire le pape François !) :
« Il est vrai Dieu et vrai homme, bonçu du Saint-Esprit et né de la Vierge Marie. Le Verbe fait chair, le Fils de Dieu, est le seul Rédempteur du monde (679) et le seul Médiateur entre Dieu et les hommes (846). Par conséquent, la première épître de saint Jean présente celui qui nie sa divinité comme l’Antichrist (1 Jn 2, 22), puisque Jésus-Christ, le Fils de Dieu, est de toute éternité un seul et même Etre avec Dieu, son Père (663) ».
 

3. L’œcuménisme de Rome consiste à avancer vers la religion universelle maçonnique et à détourner les siens de la doctrine du salut

Beaucoup d’observateurs se trompent en croyant que but maçonnique est d’unifier les religions en une sorte de religion universelle. Ce n’est pas exactement ça. Personne n’a l’intention de fusionner catholiques, protestants, musulmans et juifs en une même entité, totalement illusoire d’ailleurs. Même la fusion catholiques-protestants serait très difficile à mettre en œuvre.
Non, le but est d’amener les religions à reconnaître comme universalité transcendante et supérieure la religion maçonnique des droits de l’homme, dont les trois piliers sont : liberté, égalité, fraternité.
Que deux hauts dignitaires, l’un musulman, l’autre chrétien, signent une déclaration sur la fraternité humaine est une reconnaissance en soi par eux deux, engageant leurs groupes réciproques, de cette fameuse religion supérieure maçonnique.
Car la fraternité ici ne repose pas sur la foi en Jésus-Christ mais sur une autre idéologie, celle issue des droits de l’homme.
Dans cette déclaration comme dans le discours du pape François, outre la fraternité, on relève aussi l’omniprésence des notions de liberté et de droits (donc l’égalité) : nous sommes bien en présence de documents et de discours typiquement d’inspiration maçonnique.
Le pape François va même jusqu’à affirmer « Il n’y a pas d’alternative : ou bien nous construirons ensemble l’avenir ou bien il n’y aura pas de futur« .
Le but de la religion universelle est donc de faire communier l’ensemble des religions dans ces mêmes valeurs transcendantes maçonniques, de les rendre supérieures à tout, y compris à elles-mêmes.
Ainsi, les catholiques, protestants ou musulmans sont invités à rejoindre le groupe déjà conséquent des athées, païens, bouddhistes et autres déistes, communiant déjà dans la religion des droits de l’homme.
Là encore, la volonté des papes à avancer dans ce domaine n’est pas nouvelle, elle a commencé dès l’ouverture au monde de Jean XXIII, et se termine en apothéose avec François.
Est-il nécessaire de préciser qu’à aucun moment à Abu Dhabi, celui-ci n’a prononcé ou écrit le nom de Jésus-Christ ? sauf peut-être à la messe, et encore…
Doit-on rappeler que la religion catholique est bâtie sur le Christ ?
il y a donc un double niveau de traîtrise par le biais de telles idées, discours et enseignements des papes issus du concile :
1) Celui d’une part de convertir les catholiques à la religion des droits de l’homme, la dissociant de celle du Christ et la privilégiant pour résoudre les problèmes humains, alors qu’en réalité, c’est l’absence du Dieu fait homme dans les vies, les sociétés et les esprits qui génère de tels désordres et calamités ;
2) Celui de faire adopter aux catholiques, d’une manière subtile et progressive, quoique de plus en plus visible, un « Dieu » universel, partagé avec les autres religions, et qui n’est pas Jésus-Christ.
Ce « Dieu » est en réalité l’imitateur du vrai Dieu, celui que l’on voit partout sous des noms différents (Allah, Bouddha, Yahvé version judaïque…) et qui n’est autre que le tentateur, l’adversaire, l’ennemi déclaré de la seule vraie et unique religion, celle du Christ. Ceux qui reconnaissent ce « Dieu » universel s’inclinent sans le savoir devant Lucifer à la place du Christ. C’est grave et les dégâts dans les esprits sont incalculables. Honte et déshonneur à ceux qui œuvrent avec la bête à cette désorientation diabolique dont parlait Lucie de Fatima.
 

Conclusion

Bien sûr que cette apostasie n’est pas nouvelle, elle a commencé principalement avec le concile. Mais le chemin montré au plus haut niveau de l’Eglise devient si contraire à sa mission originelle que ça en devient (vraiment) gênant.
Bien sûr que cette nouvelle doctrine de la liberté religieuse s’est constituée progressivement, elle aussi n’est pas nouvelle. Mais à chaque fois on monte d’un cran ; ici le palier atteint (la négation publique de la divinité du Christ) est impressionnant.
Bien sûr que l’allégeance des papes aux dogmes maçonniques de liberté, égalité, fraternité a débuté elle aussi au concile. Mais aujourd’hui ceux-ci sont devenus à tel point supérieurs à la doctrine de l’Eglise qu’il ne lui vient même plus à l’idée de s’y référer.
Bien sûr que la religion maçonnique des droits de l’homme est partagée par le monde entier. Mais nous devons comprendre que c’est elle la religion universelle et qu’elle le devient vraiment quand les autres religions admettent sa prééminence sur elles-mêmes.
Mais alors, il serait temps que la Rome conciliaire tombe le masque ; qu’elle admette clairement qu’elle a modifié la définition de « Dieu » et qu’elle reconnaisse qu’elle ne voit plus en Jésus-Christ le Sauveur universel, au lieu de le faire comprendre à mots couverts et par déduction.
Qu’elle prenne acte de son apostasie, qu’elle réalise que sa nouvelle doctrine correspond à l’illumination des consciences luciférienne prophétisée à Garabandal par fausse Vierge interposée.
Qu’attend-elle pour l’officialiser ? La convocation d’un nouveau concile peut-être ?
On peut estimer que cette déclaration d’Abu Dhabi était un test grandeur nature de la soumission des évêques et cardinaux à la doctrine maçonnique du Vatican et à son apostasie manifeste. Devant le peu de réactions indignées, ils n’auront pas de scrupules pour l’ultime étape : le voyage au Maroc fin mars.
Je pense que l’Eglise est mûre ; ils pourront alors enclencher le basculement vers la nouvelle église, j’espère enfin de façon visible, par la convocation d’un concile, si ce n’est pas déjà fait d’ici là.
Le but de cet apostat de pape François est ignoble : faire participer les catholiques au péché du monde. Car le péché du monde, c’est de ne pas croire en Jésus-Christ (Jean 16:9) ; or affirmer que des religions qui ne reconnaissent pas Jésus-Christ sont « une sage volonté divine », c’est nier ouvertement la divinité du Dieu fait homme et c’est donc participer délibérément au péché du monde.
Nous sommes à l’heure des choix. Ces gens-là on les quitte. Cette doctrine-là, on la refuse. Et on tremble devant l’imminence du feu du Ciel vengeur et purificateur que ces traîtres appellent sur leurs têtes. Car on ne se moque pas impunément de Dieu, Jésus-Christ.

Invité
Invité


Revenir en haut Aller en bas

Le pape François ajoute la traîtrise à l’apostasie Empty Re: Le pape François ajoute la traîtrise à l’apostasie

Message par Marmhonie Jeu 21 Mar - 18:19


Le pape François ajoute la traîtrise à l’apostasie Cinocono-bergoglio-55401ff
Le pape François confirme que le Bouddhisme, l’Islamisme et autres sont de bonnes religions de paix au même titre que le Christianisme…
Jean 14-6 : "Jésus lui dit : Je suis le chemin, la vérité et la vie; personne ne vient au Père que par moi."
Le XIV dalaï-lama, ayant entendu les erreurs du pape Francois sur le Coran et l'histoire de l'Islam "développée par la paix entre les peuples et non par l'épée" (dixit le pape François), né le 6 juillet 1935 à Taktser (Hongya Cun 紅崖村 en chinois), interpela alors notre pape Francois né le 17 décembre 1936 à Buenos Aires, soit seulement 17 mois d'écart entre eux deux, pour lui rappeler humblement qu'"il est un âge trop avancé devant lequel il faut savoir s'incliner et laisser la place...". Ce qu'a fait ce dalaï-lama (Prix Nobel de la Paix, grand spécialiste de l'Islam (on ne le sait que trop peu par les médias)) et le pape émérite Benoit XVI...

Le pape dit avoir un grand respect pour les suicidés et non de la tristesse ? Le courage est une grâce de Dieu.
Matthieu 11-30 : "car mon joug est aisé, et mon fardeau léger."

Le pape François déclare magistralement "sa foi en l’homme" (sic) !
Psaumes 118-8  : "Mieux vaut s'abriter en Yahvé que se fier en l'homme."

Le pape déclare qu’on peut être sauvé sans Jésus ni Dieu.
Acte 4-12 : "Et il n’y a de salut en aucun autre ; car sous le ciel il n’y a pas un autre nom, qui ait été donné aux hommes, par lequel nous devions être sauvés."

Le pape François parlant de la terre avec un vocabulaire "Nouvel âge" utilisant l’expression "notre mère la terre".
2 Corinthiens 6-15 : "Quel accord entre Christ et Bélial ?"

Il est normal que devant ce revirement à 180 degrés vers l'islamisation des pays catholiques qui n'ont du reste plus le droit de se dire catholiques, contredisant le Christ, et 2000 ans de l'Eglise, Une, Sainte, Catholique, Apostolique (et martyr !), nous nous posions quelques questions sur notre cher †pape† envers qui vont toutes nos prières d'amour et de dévouements. Cela n'est pas du tout "lutter contre Dieu", c'est sans aucun rapport.
Union de prières.

Le pape François ajoute la traîtrise à l’apostasie Image-4f9013f
Marmhonie
Marmhonie

Messages : 725
Date d'inscription : 16/04/2017

Revenir en haut Aller en bas

Le pape François ajoute la traîtrise à l’apostasie Empty Re: Le pape François ajoute la traîtrise à l’apostasie

Message par Marmhonie Jeu 21 Mar - 18:23

Non François, il est inconcevable que la Sainte Eglise se soit trompée durant 2000 ans ainsi que vous l'affirmez en grave errance !


Le pape François ajoute la traîtrise à l’apostasie Eglise-a-raison-55874dc
Nous attendons du pape François ce que chaque catholique demande à l’Eglise lors de son baptême : la foi
La révélation divine est close, et c’est le devoir du Pape de transmettre fidèlement ce dépôt de la foi. Le Pape doit donc mettre fin à la terrible crise qui secoue l'Eglise depuis 50 ans. Cette crise a été déclenchée par une nouvelle conception de la foi centrée sur l’expérience subjective de chacun : on pense que l’individu est seul responsable de sa foi et peut librement opter pour n’importe quelle religion, sans distinction entre l’erreur et la vérité. Mais cela contredit la loi divine objective.

Tout catholique de Tradition est profondément attaché au Successeur de Pierre, même lorsque la Sainte Eglise s’oppose aux erreurs du concile Vatican II. Cependant, nous sommes profondément consternés par une caractéristique fondamentale du pontificat actuel : l’application complètement nouvelle du concept de miséricorde. Celle-ci est réduite à une panacée pour tous les péchés, sans pousser à une conversion véritable, à la transformation de l’âme par la grâce, la mortification et la prière.

Si le pape était parfait, il n'aurait pas besoin d'un confesseur
Dans son Exhortation apostolique postsynodale Amoris lætitia, le Pape donne la possibilité aux chrétiens de décider au cas par cas, selon leur conscience personnelle, des questions de moralité dans le mariage. Cela contredit très nettement l’orientation nécessaire et claire donnée par la loi de Dieu.
Le pape François ajoute la traîtrise à l’apostasie Paul-vi-satan-557981d

Le pape François dans la spiritualité de Luther
C'est un christianisme sans exigence de renouveau moral, un subjectivisme qui ne reconnaît plus aucune vérité universellement valable. Cela a causé une profonde confusion parmi les fidèles et le clergé. Tout homme est à la recherche de la vérité. Mais pour cela, il a besoin de la direction du prêtre, tout comme l’élève a besoin de la direction du maître.

Ce qu'a produit l'année Luther 2017 du pape François
Depuis le XVI siècle, l’Eglise catholique s’est adressée aux protestants pour les convertir et les ramener dans la véritable Eglise.
Le pape François ajoute la traîtrise à l’apostasie Luther-5579818

L’année Luther a confirmé toutes ses erreurs.
La raison en est que, depuis le concile Vatican II, l’Eglise pense que tout homme peut trouver Dieu dans sa religion. C’est une prémisse qui réduit la foi à une expérience personnelle et intérieu­re, dès lors qu’elle n’est plus l’adhésion de l’intelligence à la révélation divine.
Le pape François ajoute la traîtrise à l’apostasie Paul-vi-protestant-557977b

L’Eglise est essentiellement missionnaire.
Le Christ dit : « Je suis la voie, la vérité et la vie ». Ce n’est que par lui que les hommes seront sauvés. Il a fondé une seule Eglise qui est l’Eglise romaine. Cette vérité théologique doit être proclamée, de même que la rectitude de la morale et la splendeur de la messe traditionnelle dans le rite tridentin.
Le pape François ajoute la traîtrise à l’apostasie Messe_tridentine-5303033

La recherche sincère de la vérité dans les autres religions ne suffit pas à pro­duire la vérité.
On doit donc aider ces âmes à se sauver. Si une âme peut être sauvée en dehors de l’Eglise catholique, c’est malgré l’erreur dans laquelle elle se trouve, et non pas grâce à elle, et dans tous les cas par Jésus-Christ seul.

Ainsi, jusqu’au concile Vatican II, l’Eglise demandait à tous les prêtres de prêter le serment antimoderniste. Bergoglio aussi l’a prêté.
Le pape François ajoute la traîtrise à l’apostasie Equinoxe-infinit_solo-5568a97

Il est inconcevable que l’Eglise se soit trompée pendant deux millénaires
Et elle n'aurait plus trouvé la vérité qu’au cours des années du Concile, entre 1962 et 1965, selon le pape François ? Impossible !
Le pape François ajoute la traîtrise à l’apostasie Rouages-5587550

Source : Salzburger Nachrichten
Marmhonie
Marmhonie

Messages : 725
Date d'inscription : 16/04/2017

Revenir en haut Aller en bas

Le pape François ajoute la traîtrise à l’apostasie Empty Re: Le pape François ajoute la traîtrise à l’apostasie

Message par Marmhonie Jeu 21 Mar - 18:29

Critiquer le pape en dehors de son infaillibilité pontificale, est très catholique et appeler au redressement


"S’il est une personnalité dont il ne faut pas suivre les conseils concernant l’immigration, c’est le pape François " dixit Yvan Rioufol.
(.../...)
"Le christianisme n’a jamais eu pour prétention d’être une doctrine politique destinée à changer le monde. "Mon royaume n’est pas de ce monde", dit Jésus.Comme l’écrit Jean-Louis Harouel dans un livre déjà cité : "La manière chrétienne de changer le monde consiste à se changer soir-même", tandis que la démarche millénariste vise "à changer les autres". C’est ainsi que François est en train de faire de l’Eglise une ONG droit de l’hommiste, insensible aux angoisses identitaires des Européens qui se tournent vers les populistes honnis."
(...) 
"Selon un rapport de l’Onu de 2016, 60 millions de jeunes arabes se retrouveront, dès 2020, devant un marché du travail saturé. Quant à l’Afrique, qui compte 1,2 milliard d’habitants (Europe : 510 millions), elle sera forte de 2,5 milliards d’habitants en 2050, tandis que l’Europe en aura perdu 60 millions. Si rien n’est fait dès à présent pour protéger l’Europe de l’immigration, il n’est pas besoin d’être prophète pour annoncer de profonds déséquilibres culturels et religieux à venir. "

http://blog.lefigaro.fr/rioufol/2018/06/immigration-le-pape-se-trompe.html

Cet article n'est pas une critique contre le pape mais il désigne des faits concrets
On ne lutte pas contre Dieu en critiquant le pape François.

Les catholiques qui ont les yeux ouverts et sont réveillés voient bien que la situation exposée par le pape est en faveur des migrants , migrants musulmans .
Les catholiques ressentent le besoin de comprendre pourquoi ce pape argentin s'archarne à soutenir avec les princes de ce monde leur politique migratoire .
Ce qu'ils comprennent c'est que le pape sert le monde, dans la politique voulue par les mondialistes.Il se comporte en chef d'un état celui du Vatican.

En cela son infaillibite n'est pas engagée , donc celui qui le critique en ce domaine ne lutte pas contre Dieu.
Un moine capucin sermone sévèrement les fautes du pape François.

https://youtu.be/w321ZN3m9ec

St Paul a corrigé St Pierre, premier pape cet exemple permets d'exprimer des désaccords sur les faits, les décisions du pape sans faillir à l'amour que l'on porte à Dieu .Qui pourrait penser que St Paul en critiquant St Pierre offensait Dieu , puisque l'Eglise les a tout deux portés sur les autels ! 

Les graves fautes de Vatican II par le Père capucun Joseph-Marie

https://youtu.be/kpUKa65AXCI
Le pape n'est pas un saint, c'est un pécheur comme tout homme et dans le domaine politique il se trompe en mettant en avant la charité et ainsi commet des erreurs irréparables. Persévérer dans les fautes de Vatican II ne produit que de mauvais fruits.
Marmhonie
Marmhonie

Messages : 725
Date d'inscription : 16/04/2017

Revenir en haut Aller en bas

Le pape François ajoute la traîtrise à l’apostasie Empty Re: Le pape François ajoute la traîtrise à l’apostasie

Message par Marmhonie Jeu 21 Mar - 18:33

L'illusion Libérale ne date pas d'aujourd'hui

Début 2019, notre pape François dérive complètement dans le Libéralisme, doctrine qu'il annonce "nouvelle" pour une "nouvelle Église ouverte".

Mais cela s'est posé à tous les âges, & dernièrement en 1866 ici :
L'illusion libérale, par Louis Veuillot (1866)

Réconfortons-nous les uns les autres, plutôt que de nous diviser en suivant chacun un pape moderne si différents entre eux depuis 50 ans Le pape François ajoute la traîtrise à l’apostasie Various_artists-heart-eeba9

Rien de nouveau sous le soleil.
Conférence doctrinale sédévacantiste de l'abbé Lafitte.

https://youtu.be/qPedcNWnxyE
Conférence doctrinale sédévacantiste contre l'imposture du pape François hérétique
Marmhonie
Marmhonie

Messages : 725
Date d'inscription : 16/04/2017

Revenir en haut Aller en bas

Le pape François ajoute la traîtrise à l’apostasie Empty Re: Le pape François ajoute la traîtrise à l’apostasie

Message par Marmhonie Jeu 21 Mar - 18:35

François a dit :"Jésus sur la croix cela a été un échec"



C'est historique en 2000 ans par un pape blasphémateur, c'était le 26 septembre 2015 en la cathédrale St Patrick de New-York : "Jésus fut un échec sur la Croix"

Le pape François ajoute la traîtrise à l’apostasie Img_0299-53af3b2

Voici la liste des blasphèmes de l'étrange pape François considéré comme "dérangé" par de nombreux cardinaux au Vatican.
Le pape François ajoute la traîtrise à l’apostasie Img_0085-53aa0e1
In nomine Patris †
et Filii †
et Spiritus Sancti †
Amen

Ce n'est pas le pape du peuple, c'est celui des journalistes, et encore, il a mauvaise réputation !

Le pape François ajoute la traîtrise à l’apostasie Img_0301-53af3b6
Marmhonie
Marmhonie

Messages : 725
Date d'inscription : 16/04/2017

Revenir en haut Aller en bas

Le pape François ajoute la traîtrise à l’apostasie Empty Re: Le pape François ajoute la traîtrise à l’apostasie

Message par Marmhonie Jeu 21 Mar - 18:37

1 OCTOBRE 2017
Le pape devenait hérétique, c’était officiel



On attendait un signe à l’occasion de l’alignement planétaire du 23 septembre 2017 reproduisant la Femme dans le ciel décrite par l’Apocalypse, la lune sous ses pieds et couronnée de 12 étoiles. Le Ciel a tenu ses promesses : dès le lendemain eu lieu l’événement annoncé par ce signe : la divulgation publique d’une Correctio Filialis signée par 62 clercs, universitaires et laïcs catholiques, dont Mgr Bernard Fellay supérieur général de la Fraternité saint Pie X, déclarant le pape François hérétique sur 7 points dans son exhortation apostolique Amoris Laetitia.
Le document original est daté du 16 juillet 2017, remis au pape le 11 août, et en l’absence de réponse du Vatican, rendu public le dimanche 24 septembre en la fête de Notre-Dame de la Merci.
Les connaisseurs noteront au passage que les trois dates correspondent à des apparitions ou des fêtes de Notre-Dame : Notre-Dame du Mont Carmel le 16 juillet, apparition de Marie à Cotignac le 11 août, et fête de Notre-Dame de la Merci le lendemain de l’alignement historique de la Femme dans le ciel.
Désormais cette Femme dans le ciel a un nom : Notre-Dame du Mont Carmel, car tout commence le 16 juillet. Or les apparitions hautement eschatologiques de Lourdes et de Fatima se terminent toutes les deux par Notre-Dame du Mont Carmel : la 18ème et dernière apparition à Lourdes a lieu le 16 juillet 1858 ; et le 13 octobre 1917, le dernier tableau vu par Lucie pendant le miracle du soleil fut la vision de Notre-Dame du Mont Carmel.

Or cette Correctio Filialis, nous allons le voir, est un document capital dans la lutte entre la Vierge et la Bête qui a pris le contrôle du Vatican. Le point de départ véritable de la chute de la bête. Elle est triplement signée par la Sainte Vierge, car le moment est venu pour elle d’écraser la tête de Satan. Elle le fait avec des armes divines.



La genèse du document
Une lettre de 25 pages signée par 40 clercs, universitaires et laïcs catholiques, datée du 16 juillet 2017 en la fête de Notre-Dame du Mont Carmel porte le nom en latin de : Correctio filialis de haeresibus propagatis (littéralement : « Une correction filiale concernant la propagation d’hérésies »). Selon ses signataires, « elle affirme que le pape, par son Exhortation apostolique Amoris laetitia (8 avril 2016) ainsi que par d’autres paroles, actions et omissions en rapport avec celle-ci, a effectivement soutenu sept propositions hérétiques par rapport au mariage, à la vie morale et à la réception des sacrements, et qu’il a été à l’origine de la diffusion de ces opinions hérétiques au sein de l’Eglise catholique. Ces sept hérésies ont été exprimées par les signataires en latin, langue officielle de l’Eglise. »
Toujours selon les signataires, cette lettre a été remise au pape François le 11 août 2017. Probablement en mains propres puisqu’ils disent « au pape François » et non au Vatican. N’ayant reçu aucune réponse du pape ou du Vatican, ils ont décidé de la rendre publique le 24 septembre 2017, en la fête de Notre-Dame de la Merci.
Le jour de cette publication, le nombre de signataires était parvenu à 62, dont celui de Mgr Bernard Fellay, Supérieur général de la Fraternité Saint-Pie X, seul évêque à avoir signé le document. Y figurent aussi le supérieur du district de la Fraternité au Royaume-Uni, l’abbé Robert Brucciani, ainsi que le supérieur du district d’Afrique, Marc Vernoy ; également l’abbé Claude Barthe, le frère Jehan de Belleville, l’abbé Guy Pagès… ; mais aussi Ettore Gotti Tedeschi, ancien président de l’Institut pour les œuvres de religion (le fameux IOR)de 2009 à 2012. Au jour où j’écris ces lignes, ils sont 216 signataires.

La montée des critiques envers le pape et sa nouvelle doctrine s’est faite progressivement. La première « grande » critique fut émise par quatre cardinaux -donc par quatre sommités au plus haut niveau de l’Eglise-, Walter Brandmüller, Raymond L. Burke, Joachim Meisner et Carlo Caffarra, – ces deux derniers étant décédés cette année, respectivement le 5 juillet et le 6 septembre. Ils émirent le 19 septembre 2016 cinq Dubia (c’est à dire cinq questions) où ils demandaient respectueusement au pape François de « faire la clarté » sur cinq points hétérodoxes d’Amoris lætitia. Les Dubia, restés sans réponse, furent suivis d’une demande d’audience de la part de leurs auteurs le 25 avril 2017. Audience non accordée.
Je note au passage que ces Dubia ont été émises le jour anniversaire de l’apparition de Notre-Dame à la Salette (19 septembre) ; une fois de plus, il apparaît que non seulement la Sainte Vierge veille au grain, mais qu’elle conduit personnellement les actions décisives face à la bête.

Le 29 juin 2016, 45 théologiens avaient fait parvenir au cardinal Angelo Sodano, doyen du Collège des Cardinaux une étude critique portant sur 19 points d’Amoris lætitia. Critique, elle aussi, restée sans réponse. Dans la liste des 62 signataires de la Correctio filialis on retrouve plusieurs noms figurant déjà dans celle des 45 théologiens de 2016.



Qu’est ce qui change avec la Correctio Filialis ?
1) D’abord les signataires se donnent les moyens de la contestation. Leur action est la troisième du genre, restée elle aussi sans réponse. Mais elle regroupe 62 clercs, universitaires et laïcs de 20 pays différents. Eux aussi attendent respectueusement un certain délai avant de rendre publique leur initiative, mais en lui donnant une portée mondiale. Leur détermination se concrétise par un site internet spécialement créé pour l’occasion, traduit en six langues (français, anglais, italien, espagnol, portugais et allemand), et par une opération de relations presse d’envergure, puisque cette information a été traitée par les grands médias. La grande presse en France en a parlé.
On sort donc du microcosme des catholiques contestataires habituels, souvent assimilés avec ce que l’on appelle les intégristes, pour se retrouver dans une dimension grand public et de portée internationale. Avec la volonté affichée d’être vus et connus du plus grand nombre.

2) Ensuite, comme l’écrit avec justesse Christian Lassalle dans Média-Presse-Info du 30 septembre, « La Correctio Filialis est un coup de tonnerre dans le monde catholique : pour la première fois depuis la crise déclenchée par le concile Vatican II, l’orthodoxie du pape est remise en question, non plus par la Fraternité Saint Pie X, mais par une base beaucoup élargie. Auparavant les Dubia des 4 cardinaux avaient également pointé les affirmations du pape François contraires avec le dogme catholique. »
Cela veut dire qu’il y a une remise en cause franche et directe du pape, exposée au grand public, et exprimée par des catholiques n’appartenant pas uniquement aux milieux traditionalistes.

3) Malgré tout, la présence parmi les signataires du supérieur de la Fraternité saint Pie X donne au document une légitimité incontestable, car il agit en tant que dirigeant de l’entité représentant officiellement la Tradition -même le Vatican ne le conteste pas-, soit, pour nous, la véritable Eglise de Jésus-Christ. « Notre fidélité à la Tradition n’est pas un repli sur le passé, mais un gage de pérennité pour l’avenir » explique Mgr Fellay en rappelant, à l’appui des propos de Mgr Lefebvre, fondateur de ce mouvement, que l’Eglise n’est pas « la Rome de tendance néo-moderniste et néo-protestante » qu’ils ont toujours refusé de suivre. Or, continue Mgr Fellay, « ce sont précisément ce néo-modernisme et ce néo-protestantisme que les auteurs de la Correctio filialis dénoncent à juste titre comme les causes des changements opérés par Amoris laetitia dans la doctrine et la morale du mariage. »

4) Elle est là l’intelligence et la clairvoyance de Mgr Fellay : n’associer son nom -et celui de son mouvement- qu’à un document portant sur le dogme et la doctrine, évitant de tomber dans les pièges d’autres hérésies vaticanesques comme l’encyclique sur le climat, plus politique et donc plus piégeuse. En se plaçant sur le terrain de la théologie et de ses applications concrètes dans la vie de l’Eglise, Mgr Fellay oblige le pape et le Vatican à répondre sur le fond et non pas sur la forme. A juste titre il rappelle que « désormais dans certains pays les évêques acceptent la communion des divorcés civilement remariés, dans d’autres ils la refusent. Est-ce que la morale catholique est à géométrie variable ? Peut-elle être soumise à des interprétations contradictoires ? »
C’est pourquoi il ajoute : « dans cette triste situation de confusion, il est très important que le débat sur ces questions majeures s’amplifie, afin que la vérité soit rétablie et l’erreur condamnée. »
On sent par ces propos que Mgr Fellay veut encore donner un ton modéré à son approche, masquant ce qui pourtant s’apparente à une véritable déclaration de guerre ; nous allons le voir.

5) D’autre part, certains regrettent le ton trop révérencieux de cette lettre, que l’on s’adresse respectueusement au pape, lui demandant de condamner ces hérésies, et que l’on n’aborde pas d’autre sujets connexes comme le concile. Il ne faut pas oublier que nous avons face à nous des interlocuteurs qui sauront habilement déporter la polémique sur des sujets secondaires, évitant le débat sur le principal. Il ne faut donc pas leur donner la possibilité de dévier le sujet sur un terrain où ils pourront facilement faire oublier le fond de la critique pour s’étendre sur l’accessoire, comme l’hostilité envers le pape, la dénonciation du concile, la recherche de divisions à l’intérieur de l’Eglise etc, sans oublier bien entendu l’habituelle accusation d’intégrisme, de repli sur soi, de fermeture au monde, et pourquoi pas, de radicalisation.
En s’exprimant ainsi et en se focalisant sur l’essentiel, les rédacteurs de la Correctio Filialis désamorcent à l’avance les bombes qu’on pourrait leur lancer. D’où l’embarras du Vatican qui préfère le silence, car apporter une réponse les obligerait à répondre sur le fond.
Christian Lassalle déplore que le texte contienne 8 références au concile Vatican II mais là aussi c’est suprêmement intelligent. On sait que le concile manie le double langage : des références théologiques traditionnelles cohabitent avec des innovations modernistes. En utilisant les propres armes de l’ennemi, on le met dans une position difficile puisque, si l’on trouve dans les textes de leur concile de référence des éléments favorables à notre argumentation (et il y en a toujours ! sinon la nocivité du concile aurait été trop visible), on leur démontre leurs propres contradictions.
D’ailleurs pour le moment, les réactions que j’ai pu lire montrent bien leur embarras : tous bottent en touche et abordent le sujet non seulement en minimisant l’accusation d’hérésie, mais même en l’évitant soigneusement. Par exemple Jean-Marie Guénois dans le Figaro du 30 septembre explique que « le pape trouble une partie significative des catholiques » (titre révélateur !); puis il poursuit que ce document est « très discutable sur le fond et sur la forme et émanant d’une sensibilité ecclésiale ouvertement critique vis-à-vis du pape François » mais sans jamais expliquer en quoi elle est discutable et n’aborde à aucun moment le fond du problème : les hérésies visées ; seul point intéressant, il reconnaît qu’elle « a néanmoins obtenu un écho au-delà de ce petit cercle d’opposants. »
De son côté, Mgr Ricard, cardinal archevêque de Bordeaux, donc une haute autorité de l’Eglise, dans une interview donnée début octobre, pense qu’à Rome « on ne donne pas trop d’importance à ces interpellations qui se veulent filiales, mais qui restent intransigeantes » sans dire un mot sur l’accusation d’hérésie. On évite donc pour le moment soigneusement le problème, et on le minimisera le plus longtemps possible. Mais le pavé est lancé et personne n’arrêtera la Sainte Vierge.



6) Enfin, et c’est le plus important, on affirme et on démontre, argumentation théologique à l’appui, que le pape s’est rendu coupable d’hérésies !! Il s’agit bien d’une mise en cause de façon directe du pape, sans aucun doute ni ambiguïté. Reprenons leur texte de présentation :
Cette lettre « affirme que le pape, par son Exhortation apostolique Amoris laetitia ainsi que par d’autres paroles, actions et omissions en rapport avec celle-ci, a effectivement soutenu sept propositions hérétiques par rapport au mariage, à la vie morale et à la réception des sacrements, et qu’il a été à l’origine de la diffusion de ces opinions hérétiques au sein de l’Eglise catholique. »
Oui vous avez bien lu : les 62 signataires disent carrément, je cite leurs propres mots, que le pape a soutenu sept propositions hérétiques et qu’il a été à l’origine de la diffusion de ces opinions hérétiques au sein de l’Eglise. Ceci s’appelle une mise en cause personnelle du pape François et une accusation claire d’hérésie !
Car ils disent bien : le pape ; ils disent bien que c’est lui qui a été à l’origine de la diffusion de ces hérésies.
Par conséquent, puisqu’il est signataire de cette lettre, le supérieur de la Fraternité saint Pie X, qui s’était refusé jusqu’à ce jour à s’en prendre nommément au pape, le traite d’hérétique sans ambiguïté aucune.

Le 20 août dernier, Mgr Fellay avait déjà commis un acte demandé par le Ciel au pape, comme s’il se substituait à lui, en consacrant solennellement la Russie au Cœur Immaculé de Marie. Un mois après, il traite publiquement le pape François d’hérétique. Ce durcissement du ton fait suite à la réception par la Fraternité fin juin d’une lettre de Rome exigeant à nouveau la reconnaissance par ses soins du concile Vatican II en préalable à la régularisation de sa situation dans l’Eglise. Cette exigence mettait fin aux pourparlers entre la Fraternité et Rome car elle est heureusement impossible pour la Tradition. Dès lors, on peut se demander si le prélat dirigeant ce qui est probablement la véritable Eglise du Christ sur terre ne commence pas à prendre conscience que le mystère d’iniquité lève petit à petit le voile sur ses mystères et que Rome n’est décidément plus à Rome mais… là où d’autres comprennent qu’ils doivent faire le « travail » du pape en se demandant qui est le plus légitime des deux… pas forcément celui qu’on croit.

Mgr Fellay rappelle haut et fort que son attitude est celle de Mgr Lefebvre et de la Fraternité Saint-Pie X depuis le début. Dans sa déclaration du 21 novembre 1974, Mgr Lefebvre la définissait ainsi :
« Nous adhérons de tout cœur, de toute notre âme à la Rome catholique, gardienne de la foi catholique et des traditions nécessaires au maintien de cette foi, à la Rome éternelle, maîtresse de sagesse et de vérité. Nous refusons par contre et avons toujours refusé de suivre la Rome de tendance néo-moderniste et néo-protestante ».
Au fond de lui, Mgr Fellay sait bien que la Fraternité remplace actuellement la Rome défaillante. Que la véritable Eglise se trouve dans la Tradition et non chez les hérético-modernistes de la Rome issue de Vatican II. Il a compris, ou il commence à comprendre, qu’il est temps de les jeter dehors.



L’accusation d’hérésie invalide le pape
Il y a eu par le passé des papes tombés dans l’hérésie. Roberto de Mattei, historien, dans son livre Apologie de la Tradition, cite le cas célèbre du pape Honorius, qui fut jugé hérétique par son successeur, Léon II, s’appuyant sur l’anathème prononcé par le 3ème concile de Constantinople (681). Depuis, explique Roberto de Mattei, les historiens considèrent Honorius non pas comme un hérétique, mais comme un fauteur d’hérésie, ajoutant que ce fut la même chose pour les papes Zosime et Virgile.
On a donc eu par le passé plusieurs cas de papes jugés hérétiques, mais ce fut à chaque fois après leur mort et non pas de leur vivant. Il ajoute que « le cas d’Honorius est l’un des arguments qu’emprunte saint Robert Bellarmin dans son De Romano Pontifice afin de démontrer qu’un pape peut être hérétique. »

Toujours selon de Mattei, « la possibilité qu’il y ait un pape hérétique ne contredit pas le dogme de l’infaillibilité puisque l’infaillibilité ne suppose pas l’inerrance du pape en tant qu’individu, mais bien celle de la charge pontificale en tant que telle« . Il ajoute, et c’est important, que « la divine Providence épargna à l’Eglise la tragédie d’un pape reconnu hérétique, mais pas celle de papes hérétisants qui, dans l’exercice de leur gouvernement, se rendirent coupables de graves fautes en se montrant être d’indignes Vicaires du Christ, mais sans jamais perdre leur charge pour autant. »
Jusqu’à aujourd’hui.

Car Roberto de Mattei rappelle aussi les conditions dans lesquelles un pape peut être jugé. Il faut bien connaître ces éléments car ils sont essentiels dans la compréhension de la portée des événements qui se déroulent sous nos yeux.
« Le pape saint Nicolas Ier (585-867), dans une lettre célèbre adressée à l’empereur byzantin Michel III écrite le 28 septembre 865, récapitula de manière formelle la doctrine de la Primauté romaine. C’est dans cette lettre que l’on retrouve l’expression fameuse « Prima Sedes non judicabitur a quoquam » (Le premier siège ne sera jugé par personne), évoquée par Gratien dans son Décret célèbre par ces mots: « A nemine est judicandus, nisi deprehenditur a fides devius » (Il ne doit être jugé par personne, excepté le cas où il s’éloignerait de la foi).
La règle du Prima sedes non judicabitur n’admet qu’une seule exception : le péché d’hérésie. »
Roberto de Mattei ne fait qu’exprimer ici des règles bien connues des théologiens, du Vatican et des grandes institutions religieuses. Les 62 signataires de la Correctio, à commencer par le supérieur de la Fraternité saint Pie X ne pouvaient pas les ignorer : c’est en toute connaissance de cause qu’ils accusent le pape d’hérésie, sachant que seul ce péché peut lui être formellement reproché.
Donc le choix de pointer sur 7 points litigieux et de démontrer qu’il s’agit d’hérésies est d’une portée sans précédent dans l’histoire de l’Eglise puisque cette accusation est faite du vivant d’un pape alors que les précédentes, on l’a vu, l’ont été par les successeurs des papes incriminés.

Quelles en sont les conséquences ?
Continuons avec Roberto de Mattei : « La possibilité de juger le pape s’il se rend coupable d’hérésie a été -ainsi que l’attestent les grandes collections canoniques- une maxime incontestée durant toute l’époque médiévale. Mais qui peut juger le pape, si nul ne lui est supérieur ? Les décrétistes médiévaux expliquent que, une fois tombé dans une erreur contraire à la foi, le pape cesse d’être le chef de l’Eglise : il s’exclut lui-même de la hiérarchie et de ce fait, tout catholique peut à la rigueur, l’accuser. »
Or c’est exactement ce qui s’est passé : puisqu’il s’agit d’hérésies authentiques, vérifiées et vérifiables, non seulement les 62 signataires ont autorité pour les dénoncer, car ils font leur devoir de chrétiens, mais en plus cette démarche prouve au monde que de facto le pape François n’est plus le chef de l’Eglise et le Vicaire du Christ à partir du moment où la dénonciation de ces hérésies est rendue publique.
Ça aussi Mgr Fellay et les théologiens le savent très bien.
La réponse de la Femme dans le Ciel du 23/09 aux provocations de l’Antéchrist est donc particulièrement cinglante.

Il est certain que l’autorité la plus légitime et incontestable pour déposer un pape de son vivant serait un concile ; mais de toute façon, comme l’explique Roberto de Mattei, toujours en s’appuyant sur les précédents médiévaux, « la sentence de l’Eglise ne serait que la constatation d’un fait« . En l’occurrence, « il ne s’agit pas de déposer un pape, mais simplement de constater qu’un pape est dépouillé de sa fonction en raison de son hérésie. »
Dans ces pages, Roberto de Mattei ne parlait pas des papes Vatican II mais de la position de l’Eglise concernant un pape reconnu coupable d’hérésie. La sentence est sans appel et convient exactement à la situation que nous vivons depuis quelques jours : pour la première fois, du vivant d’un pape, un groupe de laïcs et de religieux, dont l’évêque chef de file de la tradition, affirme et prouve l’hérésie du pape, ce qui revient à déposer le pape officieusement, car il s’est lui-même exclu de l’Eglise par ses positions hérétiques.

La suite est simple : si le pape ne réagit pas à ces accusations et ne condamne pas lui-même, publiquement et sans ambiguïté les hérésies qu’il a formulées ; ou si le pape ne démontre pas par une contre-argumentation théologique que ces accusations sont nulles et non avenues parce qu’il ne s’agissait pas d’hérésies ; alors tout catholique pourra prendre acte que le pape s’est dépouillé lui-même de sa fonction par sa propre faute. Tout catholique saura que le pape François n’est plus pape, si tant est qu’il l’ait été un seul instant, la réalité de la démission de Benoît XVI restant très douteuse.



Quelles sont les hérésies en question ?
Tout le monde en parle mais personne ne les cite ; il serait pourtant intéressant de savoir sur quels points et en quoi le pape se rend coupable d’hérésies.

Les auteurs se sont focalisés uniquement sur l’exhortation apostolique Amoris laetitia ; heureusement car s’ils s’étaient étendus au reste de la doctrine conciliaire, ce n’est pas 7 hérésies qu’ils auraient pointées, mais des dizaines.
Ils expliquent que les passages d’Amoris laetitia auxquels ils font référence sont : AL295, 296, 297, 298 (+ note de bas de page 329), 299, 300 (+ note de bas de page 336), 301, 303, 304, 305 (+ note de bas de page 351), 308 et 311. Les auteurs citent également un certain nombre de paroles, actions et omissions du pape en liaison avec ces passages.

Avant d’aborder leur argumentaire sur les hérésies, voici quelques morceaux choisis extrait de ce document, qui montrent que leur démarche se situe au-delà de la critique, mais constitue plutôt une sévère admonestation du pape et de l’esprit moderniste qui sévit dans l’Eglise depuis le concile, ainsi qu’une mise en garde sur les graves dérives de Rome à l’attention de tous les catholiques.

Florilège :

« Tandis que certains évêques et cardinaux ont continué de défendre les vérités divinement révélées sur le mariage, la loi morale, et la réception des sacrements, d’autres ont nié ces vérités et ont reçu de Votre Sainteté non pas une réprimande mais des approbations. »

« Le Saint Esprit n’a pas été promis aux successeurs de Pierre pour qu’ils fassent connaître, sous sa révélation, une nouvelle doctrine, mais pour qu’avec son assistance ils gardent saintement et exposent fidèlement la révélation transmise par les Apôtres, c’est-à-dire le dépôt de la foi » (concile Vatican I).

« Les pratiques aujourd’hui encouragées par les paroles et les actions de Votre Sainteté sont contraires non seulement à la foi et à la discipline pérenne de l’Eglise mais également aux affirmation magistérielles de vos prédécesseurs. »

« Une proposition hérétique est une proposition qui contredit une vérité divinement révélée incluse dans la foi catholique. (…) Le péché d’hérésie est commis par une personne qui possède la vertu théologale de foi, mais qui choisit alors librement et en toute connaissance de cause de ne pas croire ou de douter d’une vérité de la foi catholique. Une telle personne pèche mortellement et perd la vie éternelle. »

« En second lieu, nous nous sentons obligés en conscience de mettre en évidence la sympathie sans précédent de Votre Sainteté à l’égard de Martin Luther, et l’affinité entre les idées de Luther sur la loi, la justification et le mariage, et ce qu’enseigne ou favorise Votre Sainteté dans Amoris laetitia et ailleurs. Cela est nécessaire afin que notre protestation contre les sept propositions hérétiques dont la liste est donnée dans ce document puisse être complète ; nous souhaitons montrer, fût-ce de manière sommaire, que ce ne sont pas des erreurs sans relation entre elles, mais plutôt, qu’elles constituent une partie d’un système hérétique. Les catholiques doivent être mis en garde non seulement contre ces sept erreurs, mais également contre ce système hérétique en tant que tel. »

Voici maintenant la liste des 7 hérésies et leur réfutation par des arguments théologiques.

Introduction
« Par ces mots, actes et omissions et par les passages allégués du document Amoris laetitia, Votre Sainteté a soutenu, d’une manière directe ou indirecte (si Vous en étiez conscient et jusqu’à quel point, cela nous ne le savons pas et ne voulons pas en juger), les propositions suivantes, fausses et hérétiques, propagées dans l’Eglise tant ex officio que par des actes privés » :

1) Première hérésie
«Une personne justifiée n’a pas la force, avec la grâce de Dieu, d’accomplir tous les commandements de la loi divine, comme si certains des commandements étaient impossibles à observer pour celui qui est justifié; ou comme si la grâce de Dieu, en produisant la justification d’un individu, ne produisait pas invariablement et par sa nature même la conversion de tout péché grave, ou qu’elle n’était pas suffisante à la conversion de tout péché grave».
Réfutation (Correction filiale) :
Concile de Trente, session 6, canon 18 : «Si quelqu’un dit que les commandements de Dieu sont impossibles à observer même pour l’homme justifié et établi dans la grâce : qu’il soit anathème».

2) Deuxième hérésie
«Les chrétiens qui ont obtenu le divorce du conjoint avec lequel ils étaient validement mariés et ont contracté un mariage civil avec une autre personne (pendant que le conjoint était encore en vie), même s’ils vivent more uxorio* avec leur partenaire civil et ont choisi de rester dans cet état tout en étant pleinement conscients de la nature de leur action et avec le plein consentement de la volonté de rester dans cet état, ils ne sont pas nécessairement en état de péché mortel et peuvent recevoir la grâce sanctifiante et croître dans la charité».
*more uxorio : en mari et femme
Réfutation (Correction filiale) :
Marc 10,11-12: «Il leur dit: Celui qui répudie sa femme et qui en épouse une autre, commet un adultère à son égard; et si une femme quitte son mari et en épouse un autre, elle commet un adultère».

3)Troisième hérésie
«Un chrétien peut être pleinement conscient de l’existence d’une loi divine et choisir volontairement de la violer en matière grave, sans être en état de péché mortel, comme conséquence de cette action».
Réfutation (Correction filiale) :
Concile de Trente, session 6, canon 20 : «Si quelqu’un dit que l’homme justifié, aussi parfait qu’il soit, n’est pas tenu d’observer les commandements de Dieu et de l’Eglise, mais seulement de croire, comme si l’Evangile était une pure et simple promesse de la vie éternelle sans la condition d’observer les commandements : qu’il soit anathème».

4) Quatrième hérésie
«Une personne, lorsqu’elle obéit à la loi divine, peut pécher contre Dieu en vertu de cette même obéissance».
Réfutation (Correction filiale) :
Psaume 18,8 : « La loi de l’Éternel est parfaite, elle restaure l’âme ». Mais aussi : Ecclésiastique 15,21; Concile de Trente, session 6, canon 20; Clément XI, Constitution Unigenitus, etc.

5) Cinquième hérésie
« La conscience peut juger véritablement et correctement que parfois les actes sexuels entre personnes qui ont contracté entre elles un mariage civil, bien que l’un des deux ou tous les deux soient sacramentellement mariés avec une autre personne, sont moralement bons, voulus ou demandés par Dieu ».
Réfutation (Correction filiale) :
Concile de Trente, session 6, canon 21 : « Si quelqu’un dit que le Christ Jésus a été donné par Dieu aux hommes comme rédempteur, en qui se confier, et non pas aussi comme législateur à qui obéir : qu’il soit anathème ».
Concile de Trente, session 24, canon 2 : « Si quelqu’un dit qu’il est permis aux chrétiens d’avoir en même temps plusieurs épouses, et que cela n’a été défendu par aucune Loi divine (Mt 19,9) : qu’il soit anathème ».
Concile de Trente, session 24, canon 5 : « Si quelqu’un dit que le lien du mariage peut être rompu en raison de l’hérésie, ou bien d’une vie en commun insupportable, ou bien en l’absence voulue d’un conjoint: qu’il soit anathème ».
Concile de Trente, session 24, canon 7 : « Si quelqu’un dit que l’Eglise se trompe quand elle a enseigné et enseigne, conformément à l’enseignement de l’Evangile et de l’Apôtre (Mt 5,32 Mt 19,9 Mc 10,11-12 Lc16,18 1Co 7,11) que le lien du mariage ne peut pas être rompu par l’adultère de l’un des époux, et que ni l’un ni l’autre, même l’innocent qui n’a pas donné motif à l’adultère, ne peut, du vivant de l’autre conjoint, contracter un autre mariage ; qu’est adultère celui qui épouse une autre femme après avoir renvoyé l’adultère et celle qui épouse un autre homme après avoir renvoyé l’adultère : qu’il soit anathème ».

6) Sixième hérésie
« Les principes moraux et les vérités morales contenues dans la Révélation divine et dans la loi naturelle n’incluent pas de prohibitions négatives qui interdisent d’une façon absolue certains genres d’actions particuliers qui, par leur objet, seraient toujours gravement illicites ».
Réfutation (Correction filiale) :
Jean Paul II, Veritatis splendor 115 : « Chacun de nous sait l’importance de la doctrine qui constitue l’essentiel de l’enseignement de la présente encyclique et qui est rappelée aujourd’hui avec l’autorité du Successeur de Pierre. Chacun de nous peut mesurer la gravité de ce qui est en cause, non seulement pour les individus, mais encore pour la société entière, avec la réaffirmation de l’universalité et de l’immutabilité des commandements moraux, et en particulier de ceux qui proscrivent toujours et sans exception les actes intrinsèquement mauvais ».

7) Septième hérésie
« Notre Seigneur Jésus-Christ veut que l’Eglise abandonne sa discipline pérenne par laquelle l’on refuse l’Eucharistie aux divorcés remariés et l’on refuse l’absolution aux divorcés remariés qui ne manifestent pas la contrition pour leur état de vie et le ferme propos de le corriger ».
Réfutation (Correction filiale) :
1 Cor. 11,27 : « C’est pourquoi celui qui mangera le pain ou boira la coupe du Seigneur indignement, sera coupable envers le corps et le sang du Seigneur ».
Familiaris consortio, 84 : « La réconciliation par le sacrement de pénitence – qui ouvrirait la voie au sacrement de l’Eucharistie – ne peut être accordée qu’à ceux qui se sont repentis d’avoir violé le signe de l’Alliance et de la fidélité au Christ, et sont sincèrement disposés à une forme de vie qui ne soit plus en contradiction avec l’indissolubilité du mariage. Cela implique concrètement que, lorsque l’homme et la femme ne peuvent pas, pour de graves motifs – par l’exemple l’éducation des enfants -, remplir l’obligation de la séparation, “ils prennent l’engagement de vivre en complète continence, c’est-à-dire en s’abstenant des actes réservés aux époux”.
2e Concile du Latran, canon 20, DH 717 : « Parmi d’autres, une chose trouble profondément la sainte Eglise : la fausse pénitence ; nous demandons donc à nos frères dans l’épiscopat et aux prêtres de ne pas souffrir que les âmes des laïcs soient trompées par les fausses pénitences et ainsi enchaînées en enfer. Il appert qu’il y a fausse pénitence lorsque, méprisant la plupart des péchés, on ne fait pénitence que d’un seul, ou lorsqu’on ne le fait que d’un seul sans renoncer à un autre. Aussi est-il écrit : » Celui qui a observé toute la loi, mais trébuche sur un seul point, devient coupable de tous » (Jc 2,10), c’est-à-dire en ce qui concerne la vie éternelle. En effet, qu’il ait été impliqué dans tous les péchés, ou qu’il persiste seulement dans un seul, il ne franchira pas la porte de la vie éternelle. Il y a aussi fausse pénitence lorsque le pénitent ne renonce pas à une charge curiale ou commerciale qu’il ne peut en aucune manière exercer sans péché, ou si la haine habite son coeur, ou s’il ne rend pas satisfaction à celui qu’il a offensé, ou si étant offensé il ne pardonne pas à l’offenseur, ou si l’on prend les armes contre la justice ».



Conclusion
Cette Correctio Filialis est un réquisitoire en règle contre le pape et sa doctrine mortifère pour la foi et le salut des âmes. En démontrant théologiquement que le pape s’est rendu coupable d’hérésies, ils mettent l’accent sur le seul point permettant de déposer un pape : le péché d’hérésie. Et même, si l’on se réfère aux précédents dans l’histoire de l’Eglise et aux documents magistériels, en professant une doctrine hérétique, le pape s’exclut de lui-même de l’Eglise, il cesse de facto d’être pape.
Les auteurs démontrent aussi, et affirment, que le pape François ne s’est pas rendu coupable d’hérésie par hasard, par ignorance ou par négligence, mais qu’il s’agit bien de la mise en place d’un véritable « système hérétique« , dont la complaisance avec Luther et ses thèses en sont une autre composante. Il s’agit bien d’une mise en cause sévère et argumentée du chef de l’Eglise catholique, qui prouve que celui-ci a atteint, ou dépassé, le point de non-retour. On ne peut pas à la fois se déclarer catholique et suivre cet homme ; il faut choisir.
Le fait que le supérieur général de la Fraternité saint Pie X soit un des signataires montre non seulement que ce dernier a choisi, mais aussi que tout catholique digne de ce nom doit lui aussi faire le même choix : celui de la Tradition. Il ne fallait pas quitter la Tradition ; il ne fallait pas quitter l’Eglise véritable, celle qui est réellement apostolique car elle défend l’enseignement des apôtres et de Jésus-Christ sans le déformer ; il ne fallait pas s’aventurer dans cette contre-église qui sème le doute, tue la foi, abandonne les âmes à leur sort, refuse de procurer aux hommes le salut éternel, et finalement réhabilite le péché comme si celui-ci allait de soi et n’était plus à combattre.
Oui seule la Tradition a conservé une doctrine saine, une liturgie sainte, un enseignement solide, un engagement missionnaire intact, et une réelle volonté de sauver les âmes.
L’Eglise issue du concile Vatican II a voulu gagner le monde, mais « à quoi sert-il à un homme de gagner le monde, s’il perd son âme ? » (Marc 8:36)
L’heure des choix a sonné ; personne ne pourra dire qu’il ne savait pas ; mais on ne peut pas suivre un pape hérétique. Il ne reste plus que la Tradition.
Marmhonie
Marmhonie

Messages : 725
Date d'inscription : 16/04/2017

Revenir en haut Aller en bas

Le pape François ajoute la traîtrise à l’apostasie Empty Re: Le pape François ajoute la traîtrise à l’apostasie

Message par Invité Jeu 21 Mar - 18:39

Il ne gagnera pas le monde et il a perdu son âme .

Invité
Invité


Revenir en haut Aller en bas

Le pape François ajoute la traîtrise à l’apostasie Empty Re: Le pape François ajoute la traîtrise à l’apostasie

Message par Marmhonie Jeu 21 Mar - 18:39

L'anti-pape François, récit d'une imposture



Un apostat des catholiques
Apostasie de l’antipape François proclamant : « la ‘foi’ des musulmans avec le Coran fait avancer spirituellement ». L’Église catholique enseigne, par les Papes Eugène IV (Concile de Bâle) et Calixte III, que l’islam est une secte «abominable» et «diabolique», et par le Pape Clément V (Concile de Vienne) qu’est «une insulte, une honte et une offense, l’invocation publique du nom sacrilège de l’infidèle Mahomet».
Le pape François ajoute la traîtrise à l’apostasie Img_8228-51b1bc8

Bergoglio le misérable
Il y a eu 260 papes valides dans l’histoire catholique, et plus de 40 antipapes (c’est-à-dire, des hommes qui se sont posés comme papes, mais n’avaient pas été vraiment élus). Il y a eu plus de 200 sièges vacants papaux (périodes sans un pape). Les faits disponibles prouvent que les six derniers hommes qui ont prétendu être papes – François 1er, Benoît 16, Jean-Paul 2, Jean-Paul 1er, Paul 6 et Jean 23, les hommes qui ont amené Vatican II – ont été et sont des antipapes. Il est prouvé qu’ils étaient et sont des hérétiques manifestes et non de vrais catholiques. Cette partie défend l’enseignement catholique et des vrais papes ; elle expose les antipapes manifestement hérétiques qui se sont faussement fait passer pour des chefs de l’Église catholique.

Jorge Mario Bergoglio (né le 17 Décembre 1936) est un personnage public argentin qui est de facto chef de l’État de la Cité du Vatican. Ses partisans dans l’Église Vatican II affirment qu’il a été élu «pape de l’Église catholique», en tant que François Ier en mars 2013.
Le pape François ajoute la traîtrise à l’apostasie Img_8238-51b2fec
Il est né à Buenos Aires, en Argentine dans une famille de la classe ouvrière; ses deux parents sont de l’italien (Piémont) l’ascendance du Nord et son père est né en Italie. Il a rejoint la Compagnie de Jésus juste avant le Concile Vatican II et a été « ordonné » prêtre de cette secte en 1969 dans le nouveau rite invalide d’ordination. Il était le supérieur provincial des jésuites en Argentine de 1973 à 1979. Il a commencé à monter les rangs de l’Église de Vatican II en Argentine quand la foi catholique était en déclin ; il est devenu « archevêque » de Buenos Aires en 1998 et un « Cardinal » de Vatican II  en 2001 et «Pape» de Vatican II  en 2013.

Le nouvel évangile hérétique de Bergoglio
1) Antipape François 1er octobre 2013 : « Et je crois en Dieu. Pas en un Dieu catholique ; un Dieu catholique n’existe pas ; Dieu existe. Et je crois en Jésus-Christ, son incarnation. Jésus est mon maître / enseignant et pasteur, mais Dieu, le Père, Abba, est la lumière et le Créateur. Ceci est mon être. Pensez-vous que nous sommes très éloignés ? », a déclaré François dans l’interview avec le journal italien La Repubblica.

Le pape François ajoute la traîtrise à l’apostasie Img_0060-53667de

2) Antipape François, Evangelii Gaudium, § Relations avec le judaïsme, # 247, le 24 novembre 2013 :  » Un regard très spécial s’adresse au peuple juif, dont l’alliance avec Dieu n’a jamais été révoquée …

3) François, Le Ciel et la Terre, p. 188 : « L’Église [Vatican 2] reconnaît officiellement que le peuple d’Israël continue d’être le peuple élu. Nulle part il n’est dit : «Vous avez perdu le jeu, maintenant c’est notre tour». C’est une reconnaissance du peuple d’Israël ».
Cela signifie clairement que François tient que les gens qui rejettent Jésus-Christ sont le peuple élu au regard de Dieu. C’est un blasphème contre Dieu.
Le pape François ajoute la traîtrise à l’apostasie Img_8237-51b2fe1

4) Dans Le Ciel et la Terre, p. 236, François a écrit sur de nouveaux systèmes et mouvements de croyances religieuses. Il a déclaré : «Je suis respectueux de toutes les nouvelles propositions spirituelles … Survivre au passage du temps est le principal test de pureté spirituelle «

5) Dans son homélie du 8 juillet 2013, François a parlé aux musulmans en disant : «Je pense aussi avec affection à ces immigrants musulmans qui commencent ce soir le jeûne du Ramadan, qui je l’espère va porter des fruits spirituels abondants ». François veut grandir dans l’estime avec les croyants de cette secte diabolique ; il dit qu’ils sont ses frères ; il souhaite des « fruits spirituels abondants » pendant leur jeûne du Ramadan. C’est tout simplement l’apostasie.

6) Dans son encyclique « Evangelii Gaudium » (n° 255), François professe que la liberté religieuse, en sorte que tout le monde a le droit de promouvoir toute vision religieuse en public, doit être considérée comme un droit humain fondamental.

7) La foi catholique évoluerait selon François...
François, Penser la foi, p. 13 :  » Voir l’enseignement de l’Église comme un monolithe de défendre sans nuance ou de compréhension différente est mauvaise « .
Le pape François ajoute la traîtrise à l’apostasie Img_8239-51b2fe5

Cool Suicidez-vous, c'est bon !
François, Le Ciel et la Terre, p. 92-93 : «Il fut un temps où ils n’effectuaient pas de funérailles pour ceux qui s’étaient suicidés parce qu’ils n’avaient pas continué vers le but ; ils ont fini leur chemin quand ils ont voulu. Mais je respecte toujours celui qui se suicide ; c’est une personne qui ne pouvait pas surmonter les contradictions dans sa vie. Je ne le rejette pas «
Le pape François ajoute la traîtrise à l’apostasie Img_0404-53d4f00

9) Sex over the world !
« L’Eglise n’est pas opposée à l’éducation sexuelle. Personnellement, je crois que cela doit être disponible dans toute éducation des enfants, adaptée à différents groupes d’âge. En vérité, l’Eglise a toujours fourni l’éducation sexuelle, même si je reconnais qu’elle n’a pas toujours été adéquate « . (François, Conversations, p. 111)
Le pape François ajoute la traîtrise à l’apostasie R106-20631

10) Donnez-nous de mauvais, de très mauvais curés !
François, Conversations, p. 118-119 :  » Il y a des moments où un prêtre tombe vraiment amoureux et doit réévaluer sa vocation et sa vie. Puis il doit aller à l’évêque et lui dire : «J’ai composé avec mon esprit … Je ne savais pas que j’allais ressentir quelque chose de si beau … J’aime vraiment cette femme », et il demande à quitter la prêtrise. Et que faites-vous dans ces cas ? [François:] je reste avec lui ; Je l’accompagne dans son chemin spirituel. S’il est sûr de sa décision, je l’aide même à trouver du travail … Nous demandons ce qui est appelé ‘la dispense’, la permission de Rome, et ensuite il serait autorisé à recevoir le sacrement de mariage ».

11) Croire en l'homme plutôt qu'en Dieu !
François, Conversations, p. 220 : «Pour moi, l’espoir est dans la personne humaine … Je crois en l’homme. Je ne dis pas que l’homme est bon ou mauvais, juste que je crois en l’homme « .

12) D'abord le corps, peu importe la foi !
«Si un enfant a faim et n’a pas d’éducation, ce qui devrait nous intéresser est de lui faire cesser d’avoir faim et d’avoir une éducation. Si l’enseignement est donné par les catholiques, protestants, orthodoxes ou juifs, je ne m’inquiète pas.  »

13) Et pour finir, virez 2000 ans de foi catholique et de saints !
François pense que les fruits liturgiques de Vatican 2 sont énormes. Quiconque tient le conservatisme sait qu’ils sont mauvais, horribles et désastreux.
Le pape François ajoute la traîtrise à l’apostasie Image-4f7fc6b
Marmhonie
Marmhonie

Messages : 725
Date d'inscription : 16/04/2017

Revenir en haut Aller en bas

Le pape François ajoute la traîtrise à l’apostasie Empty Re: Le pape François ajoute la traîtrise à l’apostasie

Message par Invité Jeu 21 Mar - 18:45

Vous savez Marmohnie quand il a été élu j'étais plutôt contente .Et je ne me préoccupais pas trop de ce qu'il faisait .
Ensuite le temps passant quand j'ai vu qu'il était encensé par les journalistes , j'ai compris il n'était pas celui que je croyais .
Bon la il est habillé pour le reste de l'année lol!

Invité
Invité


Revenir en haut Aller en bas

Le pape François ajoute la traîtrise à l’apostasie Empty Re: Le pape François ajoute la traîtrise à l’apostasie

Message par simple curieu Ven 22 Mar - 0:11

Les articles sont bien construits , le sujet est important , merci.
Le pape est jésuite. Il joue un double jeu dangereux.
Je préfère Benoit 16 de beaucoup!!
simple curieu
simple curieu

Messages : 145
Date d'inscription : 01/01/2019

Revenir en haut Aller en bas

Le pape François ajoute la traîtrise à l’apostasie Empty Re: Le pape François ajoute la traîtrise à l’apostasie

Message par Contenu sponsorisé


Contenu sponsorisé


Revenir en haut Aller en bas

Revenir en haut

- Sujets similaires

 
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum