Les 10 Campagnes de Mitsvot
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Les 10 Campagnes de Mitsvot
1. L’amour du prochain
« Tu aimeras ton prochain comme toi-même » – Lévitique 19, 18
Tu aimeras ton prochain comme toi-même : Hillel, l'un des plus grands sages de la Michna voit dans ce commandement l'un des fondements essentiels du Judaïsme. Aimer son prochain c'est avoir, concrètement, le souci de son bien-être, matériel et spirituel.
2. Éducation juive
Assurez à vos enfants une éducation juive authentique.
Pour vivre le Judaïsme, il faut encore et toujours apprendre. Pour transmettre le Judaïsme, il faut enseigner. Le premier devoir des parents juifs est de veiller à assurer une véritable éducation juive à leurs enfants.
3. Étude de la Torah
Étudiez la Torah tous les jours !
Rabbi Chnéour Zalman explique que les moments fixés pour l'étude de la Torah sont des rendez-vous avec notre âme, une ouverture vers l'infini de la Sagesse divine. Par l'étude, chacun peut affiner sa personnalité, percevoir avec une acuité de jour en jour plus grande les vrais enjeux de sa vie.
4. Téfilines
Mettez les Téfilines tous les jours dès l'âge de 13 ans (sauf le Chabbat et les fêtes)
La Torah décrit les Téfilines comme un signe. En les portant, l'homme et le jeune homme, témoignent de leur engagement juif.
Les Téfilines sont placées sur le bras, du côté du cœur, et sur la tête. Ainsi se voit signifiée la soumission des émotions et de l'intellect devant l'Éternel.
5. Mézouza
Fixez une mézouza sur le montant droit de vos portes.
Un mézouza désigne une maison ou une chambre comme « juive » marquant ainsi la vraie dimension du lieu auquel elle introduit. Elle doit être fixée sur le montant droit de chaque porte de la demeure (à l'exception des sanitaires et de la salle de bain). Le nom divin qui apparaît à l'extérieur de chaque mézouza, est expliqué par nos Sages comme signifiant : D.ieu est « le gardien des portes d'Israël ». La mézouza protège la maison et ses occupants.
Il faut veiller à ce qu'elle soit cachère : d'abord en en faisant l'acquisition auprès d'un sofer (un scribe) compétent, ensuite en la donnant régulièrement à vérifier, son écriture pouvant subir les dommages du temps.
6. Tsédaka
Donnez la Tsédaka (la charité) tous les jours (sauf le Chabbat et les fêtes).
Le mot Tsédaka est généralement traduit par « charité ». En fait, il renvoie à l'idée de justice. Le mot charité suggère une attitude condescendante, la Tsédaka est d'abord œuvre de justice. Et de surcroît, donner, dans ce contexte c'est aussi prendre conscience de la charité reçue de D.ieu.
Disposer, chez soi, en évidence, d'une boite de Tsédaka constitue un puissant rappel de ce devoir quotidien.
7. Des livres saints chez soi
Ayez chez vous les livres sacrés du Judaïsme.
Leur présence est déjà enseignement : elle est un constant rappel de l'importance de l'étude. Elle éclaire votre foyer.
Il est bon de posséder au moins un 'Houmach (Pentateuque, les Cinq Livres de Moïse), un livre de Psaumes (Téhilim), un Siddour (un livre de prières).
8. Les bougies de Chabbat et des fêtes
Chaque femme, chaque fille juive allume les bougies de Chabbat et des jours de fête.
La lumière est l'objet le plus immatériel du monde physique. Le Chabbat est un jour différent, un jour de plénitude, naturellement ouvert à la spiritualité, annonciateur du monde futur.
Il appartient aux femmes de l'accueillir en illuminant la maison. Par là aussi, disent nos Sages, elles apportent la paix dans leurs foyers.
9. La pureté familiale
Pour préserver le bonheur, le bien-être, l'unité de votre famille, respectez les lois de la pureté familiale.
Le mariage et la vie du couple sont traités très minutieusement par la tradition juive. Force est de constater le très faible nombre de divorces dans les foyers qui observent ces lois. Sans aucun doute, on peut en conclure que leur respect développe et approfondit l'harmonie, l'amour vrai entre l'épouse, le mari, leurs enfants.
10. Manger cachère
Observez les lois de la Cacherout chez vous et au dehors
L’alimentation est indispensable à la vie, mais nous sommes aussi ce que nous mangeons. La spiritualité juive ne s'exclut pas du monde. C'est dans le concret de l'existence qu'elle trouve d'abord son assise. Manger cachère c'est exprimer cette vérité extraordinairement profonde de notre foi.
Les lois de la cacherout sont complexes. Fondamentalement, hors des produits végétaux naturels, il ne faut consommer que des poissons pourvus d'écailles et de nageoires et de la viande cachère. Les autres produits doivent avoir été reconnus cachers par une autorité compétente.
« Tu aimeras ton prochain comme toi-même » – Lévitique 19, 18
Tu aimeras ton prochain comme toi-même : Hillel, l'un des plus grands sages de la Michna voit dans ce commandement l'un des fondements essentiels du Judaïsme. Aimer son prochain c'est avoir, concrètement, le souci de son bien-être, matériel et spirituel.
2. Éducation juive
Assurez à vos enfants une éducation juive authentique.
Pour vivre le Judaïsme, il faut encore et toujours apprendre. Pour transmettre le Judaïsme, il faut enseigner. Le premier devoir des parents juifs est de veiller à assurer une véritable éducation juive à leurs enfants.
3. Étude de la Torah
Étudiez la Torah tous les jours !
Rabbi Chnéour Zalman explique que les moments fixés pour l'étude de la Torah sont des rendez-vous avec notre âme, une ouverture vers l'infini de la Sagesse divine. Par l'étude, chacun peut affiner sa personnalité, percevoir avec une acuité de jour en jour plus grande les vrais enjeux de sa vie.
4. Téfilines
Mettez les Téfilines tous les jours dès l'âge de 13 ans (sauf le Chabbat et les fêtes)
La Torah décrit les Téfilines comme un signe. En les portant, l'homme et le jeune homme, témoignent de leur engagement juif.
Les Téfilines sont placées sur le bras, du côté du cœur, et sur la tête. Ainsi se voit signifiée la soumission des émotions et de l'intellect devant l'Éternel.
5. Mézouza
Fixez une mézouza sur le montant droit de vos portes.
Un mézouza désigne une maison ou une chambre comme « juive » marquant ainsi la vraie dimension du lieu auquel elle introduit. Elle doit être fixée sur le montant droit de chaque porte de la demeure (à l'exception des sanitaires et de la salle de bain). Le nom divin qui apparaît à l'extérieur de chaque mézouza, est expliqué par nos Sages comme signifiant : D.ieu est « le gardien des portes d'Israël ». La mézouza protège la maison et ses occupants.
Il faut veiller à ce qu'elle soit cachère : d'abord en en faisant l'acquisition auprès d'un sofer (un scribe) compétent, ensuite en la donnant régulièrement à vérifier, son écriture pouvant subir les dommages du temps.
6. Tsédaka
Donnez la Tsédaka (la charité) tous les jours (sauf le Chabbat et les fêtes).
Le mot Tsédaka est généralement traduit par « charité ». En fait, il renvoie à l'idée de justice. Le mot charité suggère une attitude condescendante, la Tsédaka est d'abord œuvre de justice. Et de surcroît, donner, dans ce contexte c'est aussi prendre conscience de la charité reçue de D.ieu.
Disposer, chez soi, en évidence, d'une boite de Tsédaka constitue un puissant rappel de ce devoir quotidien.
7. Des livres saints chez soi
Ayez chez vous les livres sacrés du Judaïsme.
Leur présence est déjà enseignement : elle est un constant rappel de l'importance de l'étude. Elle éclaire votre foyer.
Il est bon de posséder au moins un 'Houmach (Pentateuque, les Cinq Livres de Moïse), un livre de Psaumes (Téhilim), un Siddour (un livre de prières).
8. Les bougies de Chabbat et des fêtes
Chaque femme, chaque fille juive allume les bougies de Chabbat et des jours de fête.
La lumière est l'objet le plus immatériel du monde physique. Le Chabbat est un jour différent, un jour de plénitude, naturellement ouvert à la spiritualité, annonciateur du monde futur.
Il appartient aux femmes de l'accueillir en illuminant la maison. Par là aussi, disent nos Sages, elles apportent la paix dans leurs foyers.
9. La pureté familiale
Pour préserver le bonheur, le bien-être, l'unité de votre famille, respectez les lois de la pureté familiale.
Le mariage et la vie du couple sont traités très minutieusement par la tradition juive. Force est de constater le très faible nombre de divorces dans les foyers qui observent ces lois. Sans aucun doute, on peut en conclure que leur respect développe et approfondit l'harmonie, l'amour vrai entre l'épouse, le mari, leurs enfants.
10. Manger cachère
Observez les lois de la Cacherout chez vous et au dehors
L’alimentation est indispensable à la vie, mais nous sommes aussi ce que nous mangeons. La spiritualité juive ne s'exclut pas du monde. C'est dans le concret de l'existence qu'elle trouve d'abord son assise. Manger cachère c'est exprimer cette vérité extraordinairement profonde de notre foi.
Les lois de la cacherout sont complexes. Fondamentalement, hors des produits végétaux naturels, il ne faut consommer que des poissons pourvus d'écailles et de nageoires et de la viande cachère. Les autres produits doivent avoir été reconnus cachers par une autorité compétente.
Pierre.B- Messages : 178
Date d'inscription : 09/01/2019
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