Les algériens ont toujours mis leur pays au feu et au sang, dans de terrifiantes guerres civiles. Ils voulaient l'indépendance de la France, ils on eu la tyrannie et l'islam.

Tout reposa sur la corruption, la pauvreté entretenue du peuple et quand il se vit perdant, leur Président Chadli Bendjedid offrit hypocritement une tentative de démocratisation du pays, refusée par Ali Belhadj et Abassi Madani qui fondent le FIS. La suite n'est que de l'horreur pure, la folie d'un pays qui découpait ses propres enfants en rondelles.
2018 : Abdelaziz Bouteflika est un mort vivant comme simulacre de Président, soutenu par la terrifiante armée algérienne.
Un seul homme fut digne, Houari Boumédiène, tué dans un attentat islamique par un de ses gardes, et tout espoir un instant possible, fut de suite reperdu.
Il reste les étranges attentats sur le sol français, une manipulation du chef des armées algériennes pour tenter d'impliquer dans l'interdiction de la venue démocratique, la France, qui le paya fort cher.
Comme a dit un ministre français, sachant qui nous a fait cela, et ce n'était pas le FIS mais bien les services secrets algériens, et si la France n'était pas le pays des droits de l'homme, on vous aurez envoyé une bombe nucléaire, c'est tout ce que vous méritiez...
Qu'est-ce que le 911 ? C'est l'idée algérienne d'envoyer un avion faussement pris en otage sur le sol algérien, pour s'écraser sur la Tour Eiffel. En décembre 1994, quatre terroristes du Groupe islamique armé (GIA) prennent en otage le vol 8969 d'Air France à l’aéroport d'Alger-Houari Boumédiène, avec 227 personnes présentes à bord. Leur but, percuter la Tour Eiffel pour engager la France dans la guerre en Algérie contre le FIS. Vicieux, mais les français étaient bien renseignés et l'avion finit sur Marseille sans aucune victime civile. Ce fut un livre historique :
"Marignane, 26 décembre 1994, 17 h 12".

Il y a un excellent film sorti en 2011 :
"L'assaut".

Les français par la suite furent les premiers avertissant les américains que des avions allaient s'écraser sur des villes, avec des avions civils.